Si Didier Deschamps n’a pas encore donner sa décision s’il restera ou non à la tête de l’équipe de France, il ne faut pas oublier que ce compétiteur né, ne se laissera pas influencer par le quoi qu’on en dise. Dans les coulisses de la préparation pour de cette demi-finale inédite, il n’y a pas de place pour le hasard et il le sait mieux que n’importe qui.
Contre l’Angleterre l’équipe de France à montré de l’engagement certes physique, mais aussi mental. C’est d’autant plus méritoire, qu’il ne faut pas oublier que c’est l’ADN du sport de haut niveau et que les pays Anglo-Saxons en sont un peu les précurseurs. Stratège incontesté et incontestable, Didier Deschamps et toute sont équipe intègrent des notions ultra sportives qui sont de nature à renforcer les liens dans une équipe. Ils nous le prouvent à chaque match disputé par l’équipe de France.
Alors, à une marche de la finale, porté par tout un pays, l’équipe de France va affronter le Maroc. Véritable surprise de ce mondial, voilà une équipe qui trouve ses racines dans la fierté et l’abnégation. Fierté de représenter le football du monde Arabe à ce niveau de la compétition et abnégation sur le terrain lorsqu’il s’agit de défendre contre des équipes qui, sur le papier, leur sont « supérieures ».
Mais ce match, en plus de l’enjeu qu’il représente, va voir deux nations s’affronter alors qu’elles se côtoient et s’apprécient au quotidien. C’est pourquoi ce match, en plus de la dimension footballistique, aura à n’en pas douter un caractère bien différent et ne manquera pas d’animer les conversations. C’est un match de la double nationalité, de la double patrie, de la double famille. Pas simple dans ces conditions de garder à l’esprit que le meilleur gagne !