Le Roi Pelé est mort à l’âge de 82 ans

Considéré par ses pairs comme le meilleur joueur de tous les temps le Roi Pelé est décédé à l’âge de 82 ans laissant derrière lui une carrière exceptionnelle 

Véritable légende du football, Pelé aura marqué toutes les générations du football. Et pour cause, c’est le seul joueur à avoir remporté trois Coupes du monde. Mais Pelé c’était aussi un style inimitable entre le félin… et le félin.

Son palmarès est tout simplement grandiose avec à son actif trois Coupe du monde, 831 matchs officiel pour 767 buts. Chapeau l’artiste.

Le Brésil mais pas que, pleure sa « légende » qu’il était déjà de son « vivant »

Mais Pelé ne sera jamais mort, lui qui à inventé un style et un football « champagne » qui pétille, qui brille et qui scintille. Ses successeurs ont su l’adapté au football « moderne ». Il y a eu le football avant Pelé et le football après Pelé. C’est dire l’empreinte que laisse encore aujourd’hui et sans doute demain ce joueur. 

Des buts il en a marqué et si on osait on dirait tous plus beaux les uns que les autres. Plus jeune joueur à avoir remporté une Coupe du monde à l’âge de 17 ans (comme qui vous savez), Pelé était un amoureux du beau jeu, de l’élégance, du geste parfait et d’une limpidité à faire « rougir un coquelicot ». Retour sur sa prestigieuse carrière où le football est sans doute devenu ce qu’il est aujourd’hui.

Rendez-vous compte à treize ans il intègre déjà le Bauru Athletic Club et l’homme qui l’avait repéré à l’époque, un certain Waldemar de Brito l’incite à quitter sa famille pour rejoindre le club de Santos le club local. Très rapidement il intégrera l’équipe première et déjà il inscrivait des buts pratiquement à chaque match. Dès 1957 c’est l’équipe du Brésil qui va le faire découvrir au monde entier dans un match contre l’argentine où il fera trembler les filets. Sans le savoir la légende venait de naître. Et il avait alors seize ans. Jeunot, précoce et talentueux, c’est aussi cela la marque de fabrique Pelé. Mais c’est sans aucun doute en 1958 que plus rien ne serait comme avant. Sous les regards de millions de téléspectateur Pelé va définir ce qu’il est vraiment, c’est à dire un « génie ».

Alors blessé il intégrera l’équipe du Brésil en quart de finale et là cela change tout : il y a d’abord eu un but décisif contre le Pays de Galle, triplé contre nos bleus de l’époque en demi-finales et pour parachever ce qui allait devenir la référence en la matière, doublé en finale contre la Suède. Ou quant le sport devient un spectacle frissonnent et ou on se dit « c’est si simple ». Mais n’allez pas croire que ce joueur d’exception ne connaîtra que la facilité. C’est même sans doute le contraire. Ce fut notamment le cas en 1966 lors de la Coupe du monde ou le « Pelé et Brésil » était attendu de pied ferme.

Faisant figure de favori, le Brésil s’en remettait sans doute encore plus à Pelé pour cette compétition. Mais le destin en décida autrement. Ou plutôt dirons nous quand un joueur devient alors une « cible » tant il est talentueux. Il ne joua que deux match, car, « mal protégé par les arbitres » Pelé sortira sur blessure et le Brésil d’être éliminé dès le premier tour. On doit ce qui fait partie de l’histoire à deux joueurs : Zhechev le Bulgare et Morais le Portugais. Lors de cette Coupe du monde on retiendra aussi que c’est l’Angleterre qui remporta son seule trophée international à ce jour.

Mais avant cela il y eu 1962 et là deuxième trophée pour le Roi du ballon rond

En 1962 Pelé ne jouera que deux matchs, blessé lors du deuxième match, il devra quitter les siens. Le Brésil remporta cette Coupe du monde certes sans lui mais toujours avec ce qui ressemblait de plus en plus à  » sa marque de fabrique ».  Il avait alors vingt-et-un an et déjà une deuxième sacre mondiale. Mais Pelé brille aussi et bien entendu en club avec Santos. 

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